Une hausse qui tombe au plus mauvais moment
Alors que les factures d’électricité et de gaz restent élevées, l’annonce de nouvelles taxes sur l’énergie fait grincer des dents.
Prévue pour compenser le coût du bouclier tarifaire, cette mesure pourrait alourdir la facture annuelle de plusieurs dizaines d’euros par foyer dès 2026.
Les ménages modestes en première ligne
Pour les familles déjà fragilisées par l’inflation, cette hausse passe mal.
« On nous demande encore de payer plus alors qu’on se chauffe déjà moins », déplore une habitante de la Creuse.
Selon plusieurs associations de consommateurs, près d’un ménage sur trois pourrait voir son budget énergie dépasser 10 % de ses revenus, un seuil considéré comme critique.
Une mesure difficile à justifier
Si le gouvernement justifie cette nouvelle contribution par la nécessité de financer la transition énergétique, beaucoup y voient un double discours.
D’un côté, on encourage les foyers à adopter des comportements plus verts ; de l’autre, on renchérit le coût de l’électricité pour des millions de Français.
Les critiques pointent surtout le manque de progressivité : les foyers les plus modestes risquent d’être proportionnellement les plus touchés.
Des alternatives existent
Face à cette situation, de plus en plus de Français cherchent à reprendre le contrôle sur leur consommation.
Les solutions solaires, les kits d’autoconsommation ou encore les batteries domestiques permettent de réduire la dépendance au réseau et d’alléger les factures sur le long terme.
Certaines régions proposent même des aides spécifiques pour encourager ces investissements.
Vers une énergie plus juste ?
Entre fiscalité et transition, la question de la justice énergétique devient centrale.
Les experts appellent à un modèle où chacun participe à hauteur de ses moyens, tout en étant incité à produire et consommer mieux.
Car la véritable indépendance énergétique commence souvent par une toiture bien exploitée.
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